Bonjour à Toutes et à Tous,
la présentation... je déteste!... de formation technique supérieure, mais néanmoins artisan dans tous les domaines de la restauration lourde depuis bientôt vingt ans, j'émigre sur l'archipel des Açores pour un dernier projet. Il s'agit d'une maison d'habitation de 350 m2 au sol et d'un atelier de menuiserie - ébénisterie ; l'enjeu principal étant une totale autonomie eau et énergie. Le type de construction sera bien sûr le plus propre possible sans tomber dans le jusqu'au-boutisme hagard. Les Açores sont une zone ou l'activité sismique est permanente, les bâtiments seront constitués d'une charpente autoporteuse en lamellé-collé, aucun mur n'aura de statut porteur, construction néanmoins en poteaux-poutres allégé; c'est ici que qu'intervient la paille en tant qu'isolant afin d'éviter des transports et des coûts prohibitifs, le principe serait "autrichien", associé à un parement extérieur en bardage, lame d'air etc...
C'est ici que j'ai besoin de vos lumières, vos lumières à vous toutes zé tous; Savez-vous ou trouver les conditions de non moisissure de la paille, je précise ma question, quelle est la relation exacte entre le point de rosée et la conservation de la paille (le point de rosée correspond au moment ou l'humidité de l'air se condense) A savoir, en plein milieu de l'Atlantique... le point de rosée est souvent proche voir identique à la température ambiante, et je pense qu'en certains endroits du Québec (bonjour les Québécois!) ce phénomène pourrait être connu...
Concernant la préservation des ossatures bois contre les attaques des lignivores, quelles sont les solutions les plus propres que vous avez appliqué sur vos maisons?
Je vous remercie de vos réponses, nombreuses et instructives... si si
Cordialement
Bubulle